Prisonnière...
Une fois n'est pas coutume, c'est Frisquette et non Maya qui m'en a fait une bonne !
Elle s'est faite enfermer ... sous les combles du toit de l'école ! (Si si ...sic !)
Je rentrais chez moi, et comme toujours, j'appelle mes chats pour les rentrer et leur donner à manger ( ça les motive à rentrer en fait!). Maya arrive la première (comme quoi, la force de l'estomac ...), et j'entends Frisquette miauler... mais elle n'arrive pas ! Je l'appelle à nouveau, et l'entends à nouveau miauler ... le son vient d'en haut du toit. Bon. Elles sont souvent sur le toit... Je l'appelle encore ( elle va bien finir par arriver, non ?)... mais non. Elle ne vient toujours pas.
Là, y'a un problème... Je monte sur l'escalier de service qui monte au toit tout en l'appelant, et je l'entends à nouveau miauler : le son provient de l'intérieur du toit en fait !
Première reflexion : comment a-t-elle bien pu entrer là-dedans?
Deuxième réflexion : comment vais-je faire pour l'en sortir ???
Il n'y a que deux accès à ces combles : - des velux qu'on ne peut ouvrir que de l'intérieur (intérieur inaccessible pour quelque être humain que ce soit : même Passe Partout ne passe pas! )
- Trois petites fenêtres qui donnent sur le couloir dans l'école, mais dont une seule s'ouvre, et seulement en persienne ( Y'a que le haut qui se bascule, quoi !) Et l'ouverture est bien trop mince pour que l'énorme Frisquette puisse y passer... ( en plus, la fenêtre est située à deux mètres de hauteur, sans meuble ou quoi que ce soit autour qui ait pu servir de point d'appui pour y sauter...)
Bref, impossible d'y entrer ... et par la même, d'en sortir ... Pourtant elle y est entrée, elle. La Frisquette qui me regarde par la fenêtre du couloir de l'école... (Puisque j'y suis entrée dans l'école afin de vérifier mes soupçons : à savoir, qu'elle se trouvait bien là, la Frisquette! )
Bon, réfléchissons peu mais bien ... (Pendant ce temps, de l'autre côté de la fenêtre, Frisquette s'assoit sur son derrière et prend un air détaché ...) Se pourrait-il qui'il y ait un passage entre ces combles et le grenier de l'école, qui est actuellement en travaux et où les employés ont travaillé aujourd'hui ? (Et en même temps, tout s'expliquerait...)
Je vais chercher les clés du grenier de l'école et monte pour l'appeler ... Rien.
Zut...c'était trop beau...
Bon. Peut-être qu'elle ne m'entend pas si l'ouverture est petite... Je m'avance donc dans le recoin du grenier où une "connexion" avec les combles serait possible (attention la tête, c'est en pente et plein de poutres...) Je l'appelle à nouveau, encore et encore... et au bout de quelques minutes, ma Frisquette arrive, toute guillerette!
Aaaaah ! On va pouvoir aller manger ! Je referme le grenier à clé, vais ranger la clé à l'école, remets l'alarme de l'école, referme la porte à clé, et repose Frisquette par terre ... qui se sauve en courant dans la direction opposée, et impossible de l'attraper... Garce...aucune reconnaissance...
Pas grave. Plan B. Technique de la gamelle : Faire tinter les gamelles à la fenêtre de la chambre. Radical. Elle a rappliqué dans la seconde.
Aaaaah ! On va enfin pouvoir manger ! ( Vite, fermer toutes les fenêtres...!) C'est tout moi, ça !
Elle s'est faite enfermer ... sous les combles du toit de l'école ! (Si si ...sic !)
Je rentrais chez moi, et comme toujours, j'appelle mes chats pour les rentrer et leur donner à manger ( ça les motive à rentrer en fait!). Maya arrive la première (comme quoi, la force de l'estomac ...), et j'entends Frisquette miauler... mais elle n'arrive pas ! Je l'appelle à nouveau, et l'entends à nouveau miauler ... le son vient d'en haut du toit. Bon. Elles sont souvent sur le toit... Je l'appelle encore ( elle va bien finir par arriver, non ?)... mais non. Elle ne vient toujours pas.
Là, y'a un problème... Je monte sur l'escalier de service qui monte au toit tout en l'appelant, et je l'entends à nouveau miauler : le son provient de l'intérieur du toit en fait !
Première reflexion : comment a-t-elle bien pu entrer là-dedans?
Deuxième réflexion : comment vais-je faire pour l'en sortir ???
Il n'y a que deux accès à ces combles : - des velux qu'on ne peut ouvrir que de l'intérieur (intérieur inaccessible pour quelque être humain que ce soit : même Passe Partout ne passe pas! )
- Trois petites fenêtres qui donnent sur le couloir dans l'école, mais dont une seule s'ouvre, et seulement en persienne ( Y'a que le haut qui se bascule, quoi !) Et l'ouverture est bien trop mince pour que l'énorme Frisquette puisse y passer... ( en plus, la fenêtre est située à deux mètres de hauteur, sans meuble ou quoi que ce soit autour qui ait pu servir de point d'appui pour y sauter...)
Bref, impossible d'y entrer ... et par la même, d'en sortir ... Pourtant elle y est entrée, elle. La Frisquette qui me regarde par la fenêtre du couloir de l'école... (Puisque j'y suis entrée dans l'école afin de vérifier mes soupçons : à savoir, qu'elle se trouvait bien là, la Frisquette! )
Bon, réfléchissons peu mais bien ... (Pendant ce temps, de l'autre côté de la fenêtre, Frisquette s'assoit sur son derrière et prend un air détaché ...) Se pourrait-il qui'il y ait un passage entre ces combles et le grenier de l'école, qui est actuellement en travaux et où les employés ont travaillé aujourd'hui ? (Et en même temps, tout s'expliquerait...)
Je vais chercher les clés du grenier de l'école et monte pour l'appeler ... Rien.
Zut...c'était trop beau...
Bon. Peut-être qu'elle ne m'entend pas si l'ouverture est petite... Je m'avance donc dans le recoin du grenier où une "connexion" avec les combles serait possible (attention la tête, c'est en pente et plein de poutres...) Je l'appelle à nouveau, encore et encore... et au bout de quelques minutes, ma Frisquette arrive, toute guillerette!
Aaaaah ! On va pouvoir aller manger ! Je referme le grenier à clé, vais ranger la clé à l'école, remets l'alarme de l'école, referme la porte à clé, et repose Frisquette par terre ... qui se sauve en courant dans la direction opposée, et impossible de l'attraper... Garce...aucune reconnaissance...
Pas grave. Plan B. Technique de la gamelle : Faire tinter les gamelles à la fenêtre de la chambre. Radical. Elle a rappliqué dans la seconde.
Aaaaah ! On va enfin pouvoir manger ! ( Vite, fermer toutes les fenêtres...!) C'est tout moi, ça !